| ASSOCIATION, BÉNÉVOLAT | ACTIVITES | CONCERTS, EXPOS, SPECTACLES | STUDIOS, ACCOMPAGNEMENT |
Expositions
Karine Bedjidian |
|
Vernissage Samedi 17 Mars à 19h00 Du 05 Mars au 07 Avril 2018
|
 |
Dans les dessins à l’encre de Chine de Karine Bedjidian, traces de ses pérégrinations entre souvenirs et rencontres, songes et réflexions, vous croiserez entre autres Leonard Cohen, Bashung, Patti Smith…
Karine Bedjidian est plasticienne, dessinatrice et peintre. Née en 1974 à Paris, elle grandit un crayon à la main et du rock dans les oreilles. De 1991 à 1995, elle collabore au chant au sein de différents groupes. En 1994, elle opère un choix décisif dans sa pratique artistique et se dirige vers les arts plastiques, s\'écartant ainsi de la musique. Elle entre en 1996 à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris (ENSBA), où elle suit notamment les enseignements de Jean-Michel Albérola en peinture et de Didier Semin en critique d’art et obtient en 2002 le Diplôme National Supérieur d’Arts Plastiques (DNSAP). En parallèle de son travail artistique, elle enseigne ensuite pendant 8 ans à des élèves de tous âges les arts plastiques (dessin, peinture et modelage), l’histoire de l’art et la restauration de tableaux au sein de divers centres culturels municipaux et associations. Depuis maintenant près de 7 ans, elle se consacre pleinement à la création plastique. En novembre et décembre 2017, la galerie Jeune Création (Paris 14e) accueille son exposition \"Et si finalement le mur n’existait pas\", dans laquelle ses dernières vanités sont présentées.
A l’instar du charbon, à la fois fossile de l’arbre et embryon du diamant, Karine Bedjidian tend à charger ses dessins de la mémoire du passé et de la vision du futur. Elle plonge dans la feuille de papier pour y ramener à la surface souvenirs et rêves, peurs et amours. Le feutre à l’encre de Chine en pérennise alors la matérialisation. De la simplicité de ces outils se dégage une grande liberté, l’autorisant à envisager toutes les dimensions, toutes les formes : en voyageant léger, elle peut dès lors prendre le monde sous le bras, rendre visible l’invisible, pour tenter enfin une impossible réconciliation avec le temps.
A l’instar du charbon, à la fois fossile de l’arbre et embryon du diamant, Karine Bedjidian tend à charger ses dessins de la mémoire du passé et de la vision du futur. Elle plonge dans la feuille de papier pour y ramener à la surface souvenirs et rêves, peurs et amours. Le feutre à l’encre de Chine en pérennise alors la matérialisation. De la simplicité de ces outils se dégage une grande liberté, l’autorisant à envisager toutes les dimensions, toutes les formes : en voyageant léger, elle peut dès lors prendre le monde sous le bras, rendre visible l’invisible, pour tenter enfin une impossible réconciliation avec le temps.
